Etienne LAMBERT
Notes générales :
RENSEIGNEMENTS DIVERS Renseignements familiaux divers Le 27 février 1756"à Aufaing, paroisse deRupt, avant midi" Joseph Leduc, laboureur demeurant auditlieu et Catherine Lambert son épouse, d'une part, Nicolas et Etienne Lambert,. frères, laboureurs demeurant au même lieu d'autre part, se partagent par moitié les immeubles provenant de l'héritage de " Barbe et Anne les Hans", mères desprécédents. Joseph Leduc emporte la "Vieille maison d'Aufaing", le four, les fontaines et les diverses dépendances, les jardins et les meix voisins. Cet ensemble est situé au lieudit "la maison du dessus". Nicolas et Etienne Lambert obtiennent les deux tiers et onze quatorzièmes de la "neufve maison d'Aufaing dessous", indivise pour les trois autres quatorzièmes avec les enfants de Prix Lambert et Catherine Leduc sa femme. Cette ferme comporte également un four et un certain nombre de dépendances. Plusieurs terres et des prés reviennent au même moment à Nicolas et Etienne Lambert, qui effectuent le partage de leur héritage le 2 mai 1759.Chacun d'eux reçoit la moitié des biens qui leur ont été attribués trois ans auparavant. Le 7 novembre 1757 le premier avait racheté à Joseph Leducet à Catherine Lambert son épouse, la ferme, le for et les dépendances situés"es souris", en contrebas des domaines agricolesd'Aufaing. Vers la fin de son existence, Etienne Lambert est toujours marcaire. Il possèdela plus grande partie de la ferme de l'Aufaing dessous, et des prés, champs, etc... qui en dépendent. Son frère Nicolas lui a cédé sa part de ces biens. Il fait reconstruire dans le style du XVI l le siècle le bâtiment principal de cette exploitation agricole, où il demeure. C'est sans doute pour effectuer ces opérations qu'il emprunte une somme de 1550 livres tournois à Jean-Baptiste Durand,ancien Grand Echevin et marchand a Remiremont, le 24 février 1784. Il meurt quelques mois plus tard sans avoir pu s'acquitter de cette dette. Le 6 juin 1786, Marie Thérèse Lambert, sa veuve, reconnaît devoir la même somme à Ambroise Durand, garçon majeur fils de Jean-Baptiste Durand. Elle s'engage également à rembourser 1154 livres qui lui ont été prêtées par l'abbaye de Remiremont, le 4 juillet 1788.Lorsqu'elle disparaît sa succession déficitaire revient à ses enfants :Simon Lambert, Etienne Lambert et Elisabeth Lambert, épouse de Simon Collé,marcaires a l'Aufaing dessous. Ces personnages recueillent également la dette contractée par leurs parents Etienne Creusot, cultivateur a Longchamp, envers Marie Cécile Thouvenel, domiciliee àRemiremont le 28 décembre 1776. Le 9 janvier 1812 Charles François Thouvenel, juge de paix du canton de Remiremont, héritier de la précédente déclare avoir reçu de Simon Lambert et d'Elisabeth Lambert, veuve de Simon Collé, cultivateurs au Dessus-de-Rupt, unesommede331,80F.en vertu du contrat obligatoire passé a la date indiquée plus haut. Le 16 décembre suivant, en l'étude de Me Jean Baptiste Noël, avocat à la cour et notaire impérial à Remiremont, ils reconnaissent devoir à Ambroise Durand, propriétaire dans la même ville, 1.185,20 F. cette somme correspond aux 1.550 livres empruntées par leur père, avec intérêt a5 % le 6 juin 1786. Comme sûreté de ce capital, ils hypothèquent la métairiequ'ils exploitent a l'Aufaing dessous, où ils résident. Pour se libérer de cette redevance, Simon Lambert vend sa part de ces biens pour 7.200 F. le 20 décembre 1814. Il rappelle à cette occasion qu'ils proviennent d'Etienne Lambert son pere et d'Etienne Lambert, son frère Elisabeth Lambert, veuve de Simon Collé, sa sœur, effectue une opération semblable le 21 janvier 1815.
Événements les plus importants de sa vie :
• Profession: Marcaire.
Etienne épousa Marie Thérèse N.
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